Ludvik et Anna rentrent, lui sur les nerfs, elle passablement éméchée, d’un gala donné par les faucons praguois. Ludvik y a appris l’éviction de son supérieur hiérarchique et craint, dossiers compromettants à l’appui, de devenir un dommage collatéral de cette mise au pilori. Devant les preuves d’une intrusion dans leur appartement et une panne d’électricité suspecte (elle ne touche pas leurs voisins), ils se mettent à suspecter avoir été mis sur écoute. C’est le début d’une plongée nocturne dans la paranoïa...